3 mars 2014. Je me doutais qu’en arrivant j’allais regretter de ne pas avoir pris l’appareil photo ou la caméra. Ca n’a pas manqué. Après avoir laissé cours à la contemplation et évité deux assaillantes sournoises que je n’ai pas vu venir,  je me suis rabattu sur le smartphone et…, et bien  j’ai été agréablement surpris du résultat. Presque à se demander pourquoi s’encombrer d’autre chose. Ah, si le stabilisateur d’image et surtout, le son ! Pas top le vent dans les ouies du smartphone. Du coup je vous ai collé le Canon de Pachelbel, parce que c’est beau, c’est tendre et c’est doux tout en laissant envisager le tumulte.

Johann Pachelbel, compositeur allemand, 1653 -1706

La tempête en cours se prénomme Christine, d’ailleurs vous noterez la prédominance étonnante des prénoms féminins concernant ces mouvement climatiques de début d’année, peut-être pour ajouter un peu de grâce au tumulte des éléments. Christine est venue accompagnée de sa ribaude de virée, j’ai nommé miss Grande Marée, coefficients de 114, forte houle avec vent de ouest nord ouest, il y a longtemps que la plage du Magouero n’avait pas été ensevelie sous les caresses écumeuses du flux et reflux.