C’est au tour de Pétra donc, de venir nous karchériser la côte, les rives et les champs. Il n’y a que 71 de coefficient ce 5 février mais à Saint-Cado, poussés par un vent d’ouest de force 9, les flots gagnent sur la terre.

Les prises de vue sont difficiles, le vent m’a fait parfois vaciller – de grandes claques très ponctuelles – et lorsque les grains s’y mettent… Le pire est à la barre, avec des flux de sable qui déplacent des tonnes de matière. Pour relativiser j’imagine les maraichers ou les ostréiculteurs au taf.