Après validation du choix des moellons, l’entreprise ART, celle qui a également oeuvré à Mané Véchen, s’est employée à la remise en état des murs. Fin juillet, l’ensemble a été remonté, moellons et linteaux.

C’est désormais le chantier d’insertion qui prend la relève pour la restauration de la cuve à brai, l’endroit dans lequel on fond le brai de houille, un mélange pateux provenant de la distillation de houille, qui, mélangé à des fibres, permet par exemple d’enduire et calfater les civières à huîtres et les plates des ostréiculteurs.